Madjou Bah, jeune journaliste guinéen, vient d’être nominé pour les Médias Wards Guinée 2022. Cette nomination vient couronner une carrière qui a été marquée par la persévérance et la régularité. Madjou Bah est un exemple inspirant pour les jeunes journalistes en Guinée et ailleurs.
Madjou Bah est un ancien du grand titre de presse L’Observateur. Il a rapidement compris que pour réussir dans ce métier, il fallait être régulier et travailler dur. Il a alors décidé de créer son propre journal, qu’il a intitulé « La Tribune ». Ce journal a rapidement connu un succès auprès de la population locale, qui a apprécié la qualité des articles de Madjou Bah.
Malgré les difficultés rencontrées dans le monde du journalisme en Guinée, Madjou Bah a persévéré dans son métier. Il a continué à publier son journal régulièrement, en dépit des pressions et les groupes d’intérêts. Son travail a fini par être reconnu au niveau national, et il a été nominé pour les Médias Wards Guinée 2022.
Madjou Bah a déclaré que cette nomination était un honneur pour lui et une reconnaissance de son travail acharné. Il a également souligné l’importance de la persévérance dans le journalisme. « Le journalisme est un métier difficile, mais il faut continuer à travailler dur et à croire en ses capacités. Si l’on persévère, on peut réussir dans ce métier », a-t-il déclaré.
La nomination de Madjou Bah pour les « Médias Wards Guinée 2022 » est un exemple pour tous les jeunes journalistes en Guinée et ailleurs. Elle démontre que la persévérance, le travail acharné et la qualité du travail finissent par payer. Elle est également un témoignage de l’importance de la liberté de la presse dans une société démocratique.
La nomination de Madjou Bah pour les Médias Wards Guinée 2022 est une reconnaissance méritée pour son travail acharné et sa persévérance dans le journalisme.
C’est également un exemple inspirant pour tous les jeunes journalistes en Guinée et ailleurs. Nous espérons que cette nomination encouragera d’autres journalistes à suivre l’exemple de Madjou Bah et à continuer à travailler pour une presse libre et indépendante.
Par Dian Bah