Après la polémique qui a entouré la première dauphine Hadja Kadiatou Condé au lendemain du concours Miss Guinée, cette fois-ci, c’est au tour d’Aïssatou Dioumo Diallo, 2e dauphine Miss Guinée 2023.
Depuis quelques heures, celle qui est adulé par un grand nombre d’internautes sur les réseaux sociaux est au centre d’une grosse polémique.
En effet, il y a quelques jours, les productions Tidiane Word Music annoncaient via les réseaux sociaux la désignation en tant que porte-parole et ambassadrice d’un projet à caractère socio-culturel à Montréal au Canada de la deuxième dauphine Aissatou Dioumo Diallo.
Ce dimanche, la concernée a fait une sortie sur son compte Facebook pour apporter un démenti d’une association quelconque sur projet de ce type.
Information :
« C’est avec beaucoup d’étonnements que j’ai appris ma désignation/nomination en qualité de porte-parole d’un festival et en même temps ambassadrice d’un projet à caractère socio-éducatif à Montréal au Canada.
Bien que le projet se révèle d’une grande importance pour moi car il concerne les personnes atteintes d’albinisme, je tiens à apporter un démenti sur une quelconque participation de ma part à un événement de ce genre.
Les organisateurs ont certes manqué de discernement et n’ont sûrement pas eu toutes les informations nécessaires avant d’entreprendre une telle initiative.
Pour l’heure, mon équipe et moi ainsi que le COOMISGUI travaillons ensemble pour finaliser notre programme d’activités annuelles.
Au moment venu, je vous communiquerai la suite de nos activités et merci infiniment à tous et à toutes pour vos messages de soutien et d’encouragement.
Cordialement ! », avait-elle écrit.
Mais il n’en fallait pas assez pour mettre de l’huile sur le feu. Cheick Tidiane Nabé, responsable de l’équipe managériale de Miss Alby, a fait un autre post pour contredire la miss Aïssatou Dioumo Diallo.
Selon lui, le COMISSGUI dirigé par Aminata Diallo serait derrière ce qu’il a appelé un « sabotage pour des raisons personnelles »
Pour le moment, toutes nos tentatives pour rentrer en contact avec le COOMISGUI sont restées vaines.
Sam Bantignel Barry