Plusieurs étudiants de la capitale étaient dans la rue, ce lundi 21 septembre 2020. Objectif : réclamer la réduction du le coût du transport par tronçon. Depuis que la pandémie du COVID -19 s’est emparé du pays, il faut le double du frais de transport pour quitter d’un point à un autre.
Tout à commencer par des grincements de dent à l’occasion de la reprise des cours dans les universités. Ensuite, à Gamal Abdel Nasser de Conakry, les étudiants ont investi les rues avec un solgan : « 1500 c’est bon ». « On ne ^peut supporter ce coût. Certains collègues jusqu’à Coyah pour venir ici. Avec ce tarif, ils doivent jusqu’à 50 000 par jours rien que dans le transport », explique étudiant sur ses nerfs.
Peu après, l’effet de contagion est enregistré du côté de Sonfonia, ou les étudiants se sont également manifestés, paralysant la circulation. Les premiers pick-up remplis d’agents des forces de l’ordre déployés sur le terrain n’ont pas réussi à libérer la route. Dans les environs de 14h30, leurs camardes de l’université de Kounthia ont repris le relais à travers une marche pacifique. Là aussi, la circulation a été bloquée pendant quelques temps.
Ce soir, les calme est revenu à tous les niveaux, en attendant de voir de quoi demain sera fait.
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