Des journalistes laxistes ou malveillants (c’est selon) ont cru devoir annoncer que je viens d’obtenir le Grand Prix de la Francophonie décerné par l’Académie Française. C’est faux !
Ce prix, je l’ai déjà obtenu en 2017. Et il n’y a aucune raison qu’une institution aussi sérieuse que celle du Quai Conti me le décerne une seconde fois.
Les fausses nouvelles qui sont devenues monnaie courante dans notre vie politique nationale ne doivent pas infester notre vie littéraire aussi.
J’invite nos journalistes à plus de rigueur professionnelle.
Par Tierno Monénembo