Peu après la remise en liberté conditionnelle de ses agresseurs, la jeune marocaine a été victime de chantage. Ses agresseurs l’avaient menacée de diffuser la scène du viol sur internet qui avait été captée via un téléphone portbale. Fin juillet dernier, l’adolescente mettait fin à ses jours en s’immolant, en pleine rue de Ben Guerir. L’affaire avait alors suscité une vive émotion à travers le pays.
Un tribunal de Marrakech a condamné à 20 ans de prison ferme un des prévenus, a indiqué Omar Arbib, représentant de l’Association marocaine des droits de l’Homme dans cette ville. L’homme a été condamné notamment pour détournement et viol de mineur et pour violences en réunion, a précisé cette même source. Six autres accusés ont vu la décision du tribunal reportée au 29 août, indique la justice marocaine.
Conakryinfos avec AFP