Cet argent serait en partie versé comme «dessous de table » à des agents de l’administration guinéenne, souligne le rapport.
Ce document préconise des actions devant permettre d’améliorer la gouvernance économique en Guinée. Il s’agit, entre autres mesures, du « renforcement des capacités juridiques, institutionnelles et opérationnelles de l’Agence nationale de lutte contre la corruption (ANLC) et de l’application effective de la convention des Nations Unies contre la corruption en Guinée.»
A cela s’ajoute « la détection et la répression de la corruption et des infractions assimilées ainsi que l’élaboration, l’adoption et la mise en œuvre de la politique et la stratégie nationale de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption. »
L’ANLC fait cependant remarquer qu’elle ne dispose pas de moyens suffisants pour mener à bien sa mission de lutte contre la corruption.
APA