Cette décision d’Aziz Diop est consécutive aux scènes de violences auxquelles les autorités ont assisté ces derniers temps lors des rencontres entre certaines équipes engagées dans la compétition, notamment dans la commune urbaine, ainsi que dans les sous-préfectures.
La dernière scène de violence a été enregistrée le lundi 21 novembre lors du match qui a opposé le quartier Gare à celui de Bordo. C’est une pluie de jets de pierres que les officiels ont pris la jambe au cou pour sortir de la cour du stade.
Peu avant, les rencontres Dalako-Météo, Briqueterie-Salamani avaient été émaillées des mêmes troubles et violences. Il en a été de même pour les compétitions sous-préfectorales de football comme à Tintioulén, Balandou, Koumban et Boula qui ont connu les mêmes scènes de violences.
Ces violences nées autour des rencontres de football ne sont pas du genre premier à Nabaya. Car, l’année dernière, une autre rencontre sportive avait été à l’origine de vandalisme où les lycées Samory Touré et Alpha Yaya ont été incendiés par des jeunes élèves en furie.
Mady Bangoura
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