France: Quand François Hollande propose à Valérie Trierweiler une dernière nuit d’amour

[dropcap]J[/dropcap]e t’aime moi non, fuis-moi je te suis… Dans son livre, Valérie Trierweiler raconte l’histoire d’une passion, d’un amour dévastateur et dresse le portrait d’un François Hollande indécis… Parmi les scènes les plus marquantes, elle raconte la rédaction de leur communiqué de rupture et la proposition que lui fait alors le président.

Valérie Trierweiler assiste au discours de François Hollande le 30 novembre 2013 à Paris.

Dans son livre Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler raconte sa rupture avec François Hollande, comment elle a appris la réalité de sa relation avec Julie Gayet, comment elle a vécu ce choc et pris des somnifères pour oublier, comment François Hollande l’a inondée de sms pour la reconquérir, comment malgré la violence de leur séparation, ils n’ont jamais rompu le contact…

Valérie Trierweiler raconte comment François Hollande veut la reconquérir après leur rupture, d’abord en la « bombardant de messages enflammés », « jusqu’à 29 textos en une journée ». Elle raconte : « Il me dit qu’il a besoin de moi. Chaque soir, il me demande de dîner avec lui. Qu’il veut me retrouver, quel que soit le prix à payer. » Et puis cette phrase, déjà très commentée depuis la sortie du livre : « Il me dit qu’il me regagnera comme si j’étais une élection. »

Proposition indécente

Et malgré ce communiqué de rupture, que jusqu’au bout, Valérie Trierweiler refusera de co-signer, François Hollande n’en a pas tout à fait fini avec sa compagne à qui il envoie des messages enflammés…. « Il me lit le communiqué de rupture qu’il a prévu de livrer à l’AFP, dix huit mots froids et orgueilleux, chacun est comme un coup de poignard (…) Je me lève et pars en hurlant (…) Il tente de me rattraper, de me prendre dans ses bras ‘On ne peut pas se quitter comme ça. Embrasse-moi ‘. Il me propose même que nous passions la dernière nuit ensemble. Je me dégage avec force, je pars sans me retourner, le visage inondé de larmes », écrit encore Valérie Trierweiler.

« Je te demande pardon parce que je t’aime encore. »

Un peu plus tard, après la diffusion aux médias « de cet acte de décès de leur amour », après avoir « actionné la guillotine », François Hollande lui envoie un mot d’amour « Je te demande pardon parce que je t’aime encore. » Nous sommes le 25 janvier. Ce soir-là Valérie Trierweiler pleurera « toutes les larmes de son corps », seule sous la couette, l’ordinateur sur les genoux en regardant un film triste. Le lendemain, elle s’envolera pour l’Inde avec ACF. François Hollande aura tenté de l’en dissuader, en vain.

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